La 'Maison des Psychanalystes' http://slurl.com/secondlife/Blackmount/224/108/80 les investissements psychiques, il est nécessaire dans un premier temps de passer par l’histoire de l’homme dans son interactivité somato-psychique vis à vis de ce qui l’entoure, selon le point de vue des théories de la psychanalyse et de la psychologie du développement. ”
lunedì 15 ottobre 2007
Mario Gerosa : Ces mondes que l’on dit virtuels
Identification et choix d’objet dans les jeux vidéosLa “Kuurian Expedition” »Ces mondes que l’on dit virtuels
Ces mondes que l’on dit virtuels sont vraiment plein de surprise.
Voilà donc que des gens se réunissent sur fond de Colisée et discutent du livre de Mario Gerosa, Mundi Virtuali que l’on espère voir bientot traduit en français. Mario Gerosa et Aurélie Pfeffer y présentent dans la langue de Dante depuis le mois d’Avril 2006 différents mondes virtuels. De splendides planches que l’on feuilette comme un album de famille - ahh tu te souviens du géant Atlas sur CoH ? Et là, c’est ca me rappelle mon Elfe Chasseresse de WoW ! - a moins que l’on préfère se plonger dans les interviews de Edward Castronova, TL Taylor, Wagner James Au, Mia Consalvo, Betsy Book, ou la préface de JC Herz.
Tout cela est banal. Ce qui l’est moins, c’est que la recontre a eu lieu sur Second Life, et qu’en écoutant Mario Gerosa, on pouvait feuilleter son livre en ligne. Voilà donc un emboitement auquel on devra s’habituer : un livre sur les mondes virtuels que l’on peut manipuler dans un des mondes virtuels dont il parle. D’ailleurs, une des questions abordée avec le public était la frontière entre la vie offline et la vie online : quelle est elle ? Existe t elle ? Avons nous un avatar ou sommes nous des avatars ? Comment vivre ces mondes en lignes ? Pourquoi n’est il pas possible d’aller sur WoW avec son avatar de Second Life ? Ne peut on pas organiser des Events transversaux a plusieurs MMOs et mondes virtuels ? Après tout, pourquoi est ce que les terroristes de CS n’envahiraient ils pas les belles maisons des millionnaires de Second Life ?
Mario Gerosa est à la tribune
Plus d'infos
http://www.synthravels.com/
Pour virtuel qu'il soit, le tour du monde sur l'internet fait un tabac.
Première étape : télécharger un logiciel gratuit proposé par l'éditeur du monde virtuel et se créer un avatar, un double numérique chargé d'incarner l'aventurier que l'on va devenir.
Deuxième étape : en route.
Comme dans le monde réel, on se perd facilement, mais comme dans le monde réel aussi, on peut compter sur les connaisseurs pour partager leur science. Ainsi, dans le plus connu de ces univers parallèles, Second Life, des « habitants » de longue date ont créé des visites guidées automatiques, des agences de voyage et même des guides touristiques. Cependant, si « The Unofficial Tourists' Guide to Second Life », publié en avril par St. Martin's Press, s'apparente largement aux ouvrages destinés au monde réel, « il comporte des rubriques sur la façon de voler ou planer », explique son coauteur, Paul Carr.
Un million de visiteurs
On peut aussi se téléporter de place en place dans la « Seconde vie », qui a vu passer plus d'un million de visiteurs en avril. Au cours du voyage se croisent des avatars du monde (réel) entier : un quart des abonnés se trouvent aux Etats-Unis, et la plupart des autres en Europe, au Canada, au Japon ou en Australie. Et grâce aux logiciels de traduction, la barrière des langues tombe d'un clic.
Embarquement avec l'agence Synthravels, qui propose des visites guidées dans 27 mondes virtuels : « Second Life », « World of Warcraft », « EverQuest », « Entropia Universe », « The Sims Online »...
Avec son fondateur, Mario Gerosa, Frank Koolhaas de son nom d'avatar, on visite l'île d'Ibiza, on danse sur le sable, puis on gagne Midnight City, on survole des gratte-ciel en admirant le reflet de la lune sur l'océan, on traverse le soleil pendant une simulation d'éclipse, et c'est le départ pour Dublin, et enfin l'île de Svarga, au-dessus d'une forêt tropicale plantée d'arbres et de champignons géants.
La navigation peut ralentir quand, dans la vraie vie, Américains ou Européens se connectent le soir à « Second Life », et trouver un guide n'est pas toujours évident car les volontaires ne sont pas forcément au rendez-vous, reconnaît M. Gerosa, qui dit avoir fait voyager plus de 200 personnes à ce jour. Toutefois, en insistant auprès des avatars, « il y a pas mal de gens dans 'Second Life' qui sont prêts à mener une visite en échange de quelques Linden dollars », la monnaie locale, qui s'achète avec de l'argent bien réel.
Voyage en tapis volant
Nombre de sites proposent quant à eux des visites guidées automatiques, à la Guided Tour Company of Second Life par exemple.
Installé sur un tapis volant ou une libellule, on se téléporte à Venise pour une ballade en gondole jusqu'à une église décorée de tableaux de la Renaissance puis sur une l'île de Cocoloco, qui évoque un paradis pour touristes dans les Caraïbes. On peut faire du stop ou prendre des passagers tentés par le dépaysement, et réaliser une photo ou vidéo-souvenir.
Pour l'instant, la quasi-totalité de ces visites guidées dans les mondes parallèles sont gratuites mais de nombreux voyagistes virtuels pourraient se lancer dans les services payants, estime Jeska Dzwigalski, développeuse de communauté chez Linden Research Inc., à San Francisco, qui gère « Second Life ». « C'est devenu un marché potentiel. »
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